L’association Coordination Nationale Indépendante pour la Justice Transitionnelle est Fondée en 2012 Tunis et spécialisée dans les secteurs Droits de l’Homme autres.
Wiki & Informations Coordination Nationale Indépendante pour la Justice Transitionnelle
Informations générales
- Dénomination : Coordination Nationale Indépendante pour la Justice Transitionnelle
- L’association est aussi connue sous le nom de : CNIJT
- Fondée en 2012 Tunis
- Adresse : – 4 Rue Mustapha Sfar
- Contact
Activités
L’association Coordination Nationale Indépendante pour la Justice Transitionnelle opère dans les secteurs suivantes : Droits de l’Homme autres.
Membres et structure
- Structure : – Association
- Membre de : –
Président(e) de l’association : Amor Safraoui
Description de l’association
Le « Groupe 25 » qui, à travers ces actes citoyens et ses actions militantes et sa collaboration avec les acteurs principaux de la société civile tunisienne dont l’UGTT, la L.T.D.H., l’A.T.F.D., l’I.A.D.H et autre, a été à l’origine de la constitution de la coordination nationale indépendante pour la justice transitionnelle (CNIJT) qui regroupe 17 associations. Elle a pour objectif de contribuer à l’instauration de la justice transitionnelle en Tunisie. Les membres de la CNIJT, étant des acteurs de la société civile qui ont toujours travaillé avec une optique participative à travers les différents réseaux actifs, leur action a été dès le départ pensée et réalisée en collaboration et en partenariat avec les associations et les personnalités actives sur le plan des libertés et de la justice transitionnelle. De même, étant convaincu que la justice transitionnelle, bien qu’elle soit en grande partie l’œuvre de la société civile, ne peut se passer de l’apport essentiel des pouvoirs publics ; la CNIJT est partie prenante, mais de manière totalement critique, dans le processus de la justice transitionnelle. Pour comprendre et avoir une idée approfondie de la thématique de la justice transitionnelle, la CNIJT a effectué un certain nombre d’études et de recherches sur les questions et les institutions relatives à cette thématique. Plusieurs membres de la CNIJT, avocats, juges, universitaires et experts ont contribué à ses études qui gravitent essentiellement autour de la réalité de la justice transitionnelle dans les expériences comparées et la détermination des principales violations des droits de l’homme depuis l’indépendance. La CNIJT a joué le rôle d’un observatoire des libertés publiques en général et des décisions et mesures prises par les gouvernements successifs après la révolution en matière de justice transitionnelle en particulier, en mettant l’accent sur les différentes menaces du processus transitionnel dans le pays, et en sensibilisant les citoyens et les autres composantes de la société civile et les incitant à mener les campagnes nécessaires. Consciente de l’importance de la médiatisation de ses activités comme facteur indispensable pour atteindre ses objectifs et de sa responsabilité dans la communication de ses thèses et projets comme moyen de vulgarisation des différents procédés et enjeux de la justice transitionnelle, la CNIJT a entretenu avec les médias les liens de coopération les plus étroits. Cette vision a été mise en œuvre soit par l’organisation de conférences et points de presse, soit par la participation des représentants de la CNIJT dans des débats de chaines de radio ou de chaines de télévision ou à travers des articles et des interviews à la presse écrite ou publiés sur son site web. En conclusion, la politique cohérente de la CNIJT et sa démarche objective lui ont permis d’avoir une crédibilité auprès des différents acteurs, organisations et organismes ayant trait avec la justice transitionnelle. Elle continuera à agir et à militer dans le même sens en vue de l’instauration d’un mécanisme de justice transitionnelle en Tunisie qui prend en considération à la fois les standards internationaux en la matière mais en même temps les spécificités de la réalité tunisienne.